Lorsque je vivais en Guyane, c'était comme cela parfois :
Lire la suitenous pourrions sortir rêver cette nuit
le rêve
choisir l'ombre un oeil au soleil mais lèvres sombres rempart vermeil (Dans mon rêve de cette nuit une assemblée entière criait Noli me tangere)
Lire la suiteprintemps
Arrive le moment où l'on sort aussi de soi le monde éclate de couleurs de jeunesse et de peau nue, on survole les trottoirs, - de deux centimètres au moins - légère, chaque passant est une curiosité que l'on interroge prêt à l'aimer suivant un regard...
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