Juste pour dire que, argh, enfin, après doutes atermoiements pannes reprises hallucinatoires en nuits blanches, illusion de fin et puis non mince encore un truc à dénouer un fil à délier ou détricoter, ça y est, je vous l'annonce, Elnakin a sauvé le monde, et sa créatrice pour commencer, qui va enfin pouvoir se vider la tête quelques heures. Pas plus. Et encore. En fait j'aimerais commencer là, maintenant tout de suite, un autre truc dans ma tête. A moins que j'aille étendre le linge et enfin passer la serpillère, ça doit faire un mois et demie.
Ces derniers temps, en pleine écriture d'une fin que j'ai tentée épique, qui est en tout cas assez ensanglantée (pardon à ceux à qui j'ai parlé dernièrement, j'ai dû paraître un peu "à côté", c'est juste que je tuais des dragons), je me suis sentie complètement comme Belmondo dans ce film, avec ce passage qui m'avait fait rire à ne plus pouvoir m'arrêter, quand j'étais p'tiote :